DEUS ABSCONDITUS
2 Novembre 2011 , Rédigé par texte critique Publié dans #essais
Par la mort, écrivait Rilke, "nous regardons au-dehors avec un grand regard d’animal." Non. Pas d’animal. Même si de ce regard qui ouvre notre chemin vers l’inconnu, nous ne connaissons rien. Car tapis dans la grâce infinie d’être humain, nous révélons en ce regard notre souveraine condition, pour nous faire peut-être "les espions de Dieu" auquel songeait Shakespeare, mystérieux détenteurs d’une connaissance indécidable. --joël jégouzo--. Newsletter
Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés.
Pages
Catégories
- 512 Politique
- 501 en lisant - en relisant
- 300 essais
- 135 poésie
- 77 IDENTITé(S)
- 70 LITTERATURE
- 67 entretiens-portraits
- 58 essai
- 54 DE L'IMAGE
- 37 Amour - Amitié
- 16 théâtre
- 2 danse