STANISLAS RODANSKI -la victoire, sans l’ombre des ailes…
13 Mars 2011 , Rédigé par texte critique Publié dans #poésie
"C’est avec une indignation toujours plus forte dans sa colère qui va jusqu’à balayer des hommes en effaçant le brouillard dont ils ne cessent d’embuer, la vitre par où l’on se voit, c’est avec une main de rêve que j’écris au tableau noir de ce temps opaque. Que le sort de ces lignes soit celui des graffitis sur les murs d’une rue quand le sang gicle de l’émeute, du moins tentent-elles de tracer à la hâte les derniers signes qui caractérisent l’homme, dont les traits sont en mon être comme le visage d’un instant hagard apparaissant derrière la vitre incandescente d’un sauve-qui-peut sans espoir de sortir du Bazar de la Charité en proie aux flammes.
"Le cours de la Liberté s’étend à perte de vue.
Stanislas Rodanski (A perte de vue, dans : Des proies aux chimères),
Qui s’est exclu du monde en 1954 - "On m’a joué le pire tour, et c’est la meilleure leçon que m’ait donnée la vie"…
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